NKM regrette le vide laissé à droite par Nicolas Sarkozy.

"Son absence créé un très grand vide à droite" admet Nathalie Kosciusko-Morizet en parlant l'ancien président qui s'est retiré de la scène politique après sa défaite à la présidentielle le 6 mai dernier. Mais pour son ancienne porte-parole qui se lance dans la course à la présidence de l'UMP, "je ne suis pas candidate au remplacement de Nicolas Sarkozy".

"D'ici 2017, deux autres échéances nous attendent : des primaires en 2016 et une nouvelle élection à la tête de notre parti en 2015. L'enjeu immédiat, c'est bien d'organiser l'opposition et préparer les prochaines élections municipales" estime par ailleurs la députée de l'Essonne qui juge notamment que "les premiers pas du président ont consisté à défaire ce qu'a fait son prédécesseur sans rien construire de neuf".