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Polémique sur une affaire d'esclavage dans l'hôtel de luxe Concorde Opéra.
Publié le Par Jennifer Declémy
Des syndicalistes de l'Hôtel Concorde Opéra dénoncent des pressions pour avoir aidé à s'évader une jeune fille employée victime d'esclavage.
La CGT a dénoncé aujourd'hui des pressions exercées à son encontre à l'hôtel de luxe Concorde Opéra pour avoir aidé une employée de maison éthiopienne d'une famille des Emirats Arabes Unis à s'enfuir de la chambre où elle se disait retenue et maltraitée.
"Quatre syndicalistes ont reçu des mises en garde de la direction de l'hôtel leur reprochant notamment de ne pas l'avoir avertie tout de suite de l'existence de cette situation. Mais ils ne l'ont pas fait tout de suite de peur qu'elle ne prévienne la famille" explique la déléguée CGT des hôtels de prestige qui dénonce la pratique récurrente "de l'esclavage moderne dans les hôtels de luxe" avec une direction qui n'a pas toujours "le réflexe de prévenir les autorités".
La CGT accuse également la direction d'avoir reproché aux syndicalistes d'avoir fait perdre de l'argent à l'hôtel après cette affaire. Avertis de la situation, les syndicalistes avaient alors contacté des associations et la police qui avait exigé la remise du passeport de la jeune fille confisqué par la famille. Entendue par la police, la jeune fille a expliqué n'avoir jamais été payé pour son travail et avoir reçu fréquemment des coups. Jusqu'à son arrivée à l'Hôtel, elle n'avait pu contacter personne car elle était toujours enfermée.
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Plumes
Expresso 
lebreton
18/09/2012 18:29
STOP A L'ESCLAVAGISME MODERNE A L'HOTEL CONCORDE OPERA PARIS
Force est de constater que les lois en vigueur dans ce pays ne sont pas appliquer dans cet établissement.
Les stagiaires sont exploités et substitués de leurs missions, ils travaillent au même titre que les employés de l'hôtel et assurent les mêmes fonctions.
Ils sont parqués à plusieurs comme des annimaux sous les combles de l'hôtel dans des locaux insalubres et infestés de souris, sans climatisation, sous un soleil de plomb, cette situation est inadmissible.
Les employés de l'hôtel sont traités comme des chiens, détounés de leurs fonctions, une fois qu'ils les ont bien rincés, ils les jettent comme des vulgaires kleenex.
La direction des ressources humaines ne satisfait pas à ses obligations, préfére accorder sa confiance aux cadres de l'hôtel au détriment des simples employés, ont ne mélange pas les torchons et les serviettes, c'est surement du à ses fonctions de conseiller municipal, très hautaine d'ailleurs mais pas très maligne.
La direction se fout des conditions de travail des salariés, à part certains pour avoir la paix social, comme ils disent.
La formation professionnelle des salariés est inexsistante, la direction préfère d'abord s'offrir des formations de luxes aux états-unis et tampis pour les autres, c'est moi d'abord.
Les déclarations unique d'embauche des extras se font après les vacations de ceci, aucune couverture social pendant leurs heures de travail.
Avant le passage des institutions françaises pour les contrôles, la direction mais tout en oeuvre, utilise tous les moyens possibles, illégaux s'il le faut, pour maquillés les désordres et inconformités dus à leurs incompétences.
STOP A L'ESCLAVAGISME MODERNE A L'HOTEL CONCORDE OPERA PARIS
Act 2
Aux regards des grandes manoeuvres t'intimidation déployées par la direction à destination de certains employés de l'hôtel, j'ai le plaisir de vous informer de la création d'un nouveau collectif de soutien moral destiné à suppléer aux lacunes du "comité de direction".
La direction mise en échecs a perdue toute crédibilité auprès de son personnel et devra rendre compte.
Leur charte de bonne conduite ne semble pas s'appliquer à eux, un peu comme les lois françaises.On dirai que certains ne prennent pas conscience ou n'ont pas la faculté d'analyse nécessaire à savoir les sanctions auquels ils s'exposent en cas de contrôle inopiné de l'inspection du travail ou autres.
Il est grand temps de faire un rappel à l'ordre.
Certains employés sont obligés de se syndiquer pour se faire payer leurs heures supplémentaires, c'est vraiment le monde à l'envers, l'avantage maintenant pour eux c'est que la direction leur fait des courbettes, il est évident que pour entrer dans les bonnes grâces de la direction mieux vaut être syndiqué, les problèmes sociaux soulevez par les syndicats se règlent avec la direction au salon K autour d'une coupe de champagne au nez et à la barbe des employés, quelle honte et manque de correction.
Le chef concierge se permet d'usurper l'identité des bagagistes, abuse de leur confiance en les inscrivant, contre leur gré sur les listes syndicales en l'occurence FO et se sert des "Tips" pour payer les cotisations, il faut quand même avoir une sacrée vista.
Deux poids deux mesures, quand le salaire d'un employé évolue de 30 euros en 3 ans, le salaire d'un cadre augmente de 300 euros.
à suivre Act 3 " Haro sur la direction, l'heure est venue de rendre quitus..."