Fil d'actus
Après Angela Merkel qui se prépare à la victoire de François Hollande, c'est l'ensemble des dirigeants européens qui sont exaspérés par le ton anti-européen pris par Nicolas Sarkozy depuis son discours de Villepinte.
Selon une rumeur persistante, la chancelière allemande aurait fait savoir au candidat socialiste qu'elle n'était plus opposée à une renégociation du traité.
Les élus du Parlement Européenne ont auditionné les membres de la Troïka pour faire le point sur la situation grecque, alors que le pays s'enfonce dans la récession.
A l'aune de l'élection présidentielle, certains candidats ont décidé d'attaquer le riche émirat, de plus en plus présent en France.
©Nicolas Asfouri/AFP
En déplacement à Séoul au sommet sur le nucléaire réunissant les grands de ce monde, le Premier Ministre a trouvé une nouvelle occasion de vanter les bénéfices du nucléaire.
Un proche de Kadhafi, actuellement détenu en Mauritanie, inquiéterait Nicolas Sarkozy et ses proches pour les connaissances qu'il aurait sur le financement de la campagne de 2007.
Après les attaques de l'ancien premier ministre belge contre Nicolas Sarkozy, c'est au tour de l'extrême-droite néerlandaise d'être dans le viseur des députés européens.
Les annonces de Nicolas Sarkozy faites hier sur l'Europe et les accords de Schengen n'ont pas satisfaits ses partenaires qui mettent en garde contre une remise en cause des traités les plus fondamentaux de l'Union Européenne.
Une récente décision du président américain le donne perdant contre son adversaire républicain.
L'Union Européenne persiste dans sa volonté de maintenir à ses frontières une taxe carbone, quitte à bousculer certains acteurs.
©Peter Dejong AP/SIPA
Geert Wilders, leader du mouvement d'extrême-droite aux Pays-Bas, met à mal le Gouvernement en demandant une sortie de l'euro.
©AFP/Eric Gay
Les deux principaux candidats de la primaire républicaine ont chacun emporté un état hier, continuant d'avancer timidement vers l'investiture.
Pour son dernier déplacement international en Pologne, François Hollande, qui rencontrait le président de ce pays, a axé son propos sur le traité budgétaire et l'état de l'Union, arguant qu'en cas de victoire, il ne manquerait pas d'alliés.
S'il n'a pas pris un avantage décisif hier, Mitt Romney conforte son avance, sans néanmoins être totalement à l'abri d'une défaite. Etrange primaire que celle des républicains...
©Reuters/Brian Snyder
Le "Super Tuesday" qui se tient aujourd'hui pourrait bien donner un avantage décisif à l'un des quatre candidats restants, avec le vote dans dix états clés de la primaire républicaine.
Les élections russes de dimanche font l'objet de vives contestations à l'intérieur du pays, mais aussi à l'extérieur. Si plusieurs pays dont la Syrie, la Chine et la France ont félicité Poutine, les Etats-Unis eux se montrent nettement plus prudents.
Le lendemain de l'élection de Vladimir Poutine à la présidence de la Russie, sur fonds de fraudes électorales constatées, des russes ont commencé à manifester pour dénoncer la manière dont s'est déroulée l'élection.
©AFP
Le résultat n'aura étonné absolument personne et de nombreuses fraudes ont d'ailleurs été constatées durant le scrutin : Vladimir Poutine, au pouvoir depuis le début des années 2000, a été réélu Président de Russie hier avec une large majorité.
©AFP/Justin Sullivan
Le conservateur Mitt Romney a remporté l'état du Washington hier soir, alors que mardi se déroule le "Super Tuesday", journée cruciale pour les concurrents républicains.
Selon une information révélée par le journal allemand die Spiegel, les dirigeants européens conservateurs se seraient entendus pour contrer François Hollande.
Hier se tenait à Bruxelles le dernier sommet européen du quinquennat de Nicolas Sarkozy, et peut-être le dernier de sa carrière politique.
25 pays membres de l'Union Européenne ont officiellement adopté le nouveau traité instaurant une discipline budgétaire en Europe.
A deux mois du scrutin présidentiel, quelles sont les positions des candidats sur le problème de la Syrie. Revue des déclarations.
Dans le cadre de la journée européenne de grève contre l'austérité hier, les syndicats de tous les états membres se sont retrouvés dans la ville européenne par excellence, Bruxelles.
©Reuters/Serguei Karpukhin
A Moscou des milliers de manifestants ont formé une chaine humaine pour protester contre un nouveau mandat de Vladimir Poutine.
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