Fil d'actus
Si les propos d'Arnaud Montebourg sur le nucléaire ont irrité les verts, ils ont aussi crée du remous au Parti socialiste encore divisé sur ce sujet.
Le président de l'Assemblée nationale a estimé ce matin qu'un "non" des députés de gauche au traité budgétaire européen serait un signe dérangeant pour la majorité.
Si elle laisse sous-entendre qu'elle devrait bientôt quitter la tête du PS, Martine Aubry n'en continue pas moins de garder le flou sur son avenir politique.
Alors que le camp Fillon réclame son départ du secrétariat général de l'UMP, Jean-François Copé lui a réaffirmé qu'il entendait conserver ce poste.
Alors que le Front de Gauche réclame un référendum sur le traité budgétaire européen, les responsables du parti sont confortés par un sondage récent qui montre qu'une majorité de français désire ce référendum.
Après les propos du ministre Montebourg sur le nucléaire, Noël Mamère dénonce une provocation de l'ancien candidat à la primaire socialiste.
Les membres d'Europe Ecologie n'ont pas tardé à répondre aux déclarations sur le nucléaire d'Arnaud Montebourg.
Sur BFMTV, le ministre du redressement productif a estimé que le nucléaire "est une filière d'avenir qui doit être rééquilibrée".
©AFP/Jean-François Monier
Alors que Jean-François Copé annonçait sa candidature dans les Bouches-du-Rhône, l'ancien Premier ministre lui a fait sa rentrée politique dans la Sarthe, à l'occasion d'un méchoui où il en a profité pour répondre aux critiques des derniers jours.
Lors de la clôture des Estivales citoyennes du Front de Gauche, l'ancien candidat à la présidentielle a lancé une mobilisation citoyenne pour exiger un référendum sur le traité budgétaire européen.
Après l'annonce de candidature de Jean-François Copé à la présidence de l'UMP, les soutiens de François Fillon ont regretté cette candidature qui "ajoute de la division".
Dans une interview au JDD, Jean-Marc Ayrault rappelle ses ministres et les parlementaires à l'ordre, notamment en ce qui concerne le traité budgétaire européen.
©AFP/Jean-Pierre Muller
Dans son probable dernier discours de clôture des universités d'été de la Rochelle, Martine Aubry a défendu le Gouvernement et le Président dont elle souhaite qu'il puisse faire deux quinquennats.
Ce midi à Châteaurenard, le secrétaire général de l'UMP a officialisé sa candidature à la présidence de l'UMP, tout en prenant soin d'égratigner son plus sérieux rival François Fillon.
Le président de l'Assemblée nationale a apporté son soutien à Jean-Christophe Cambadélis pour la succession de Martine Aubry à la tête du PS, qui se décidera au congrès de Toulouse en octobre prochain.
Le président de l'union française des industries pétrolières s'est déclaré prêt à accompagner les efforts du Gouvernement pour baisser les prix des carburants.
©Jeff Pachoud
Réunis à Grenoble pour leur Estivale Citoyenne, les membres du Front de Gauche n'ont qu'un sujet en tête ou presque : la future bataille pour le traité européen.
Les deux principales figures de l'exécutent affichent une popularité en berne dans le dernier sondage Ifop JDD paru ce matin.
Le ministre de l'économie a promis hier que les prix des carburants baisseront dès la semaine prochaine.
©Reuters
Dans un exercice de questions-réponses avec les jeunesses socialistes, le Premier ministre a tenté de calmer les critiques et de répondre aux impatients.
Alors qu'il annoncera demain officiellement sa candidature à la présidence de l'UMP, Jean-François Copé a passé ces derniers jours à préparer "le discours de sa vie".
La Tunisie a présenté ses excuses à la France après l'agression, sur son territoire, d'un élu socialiste de Sarthe, par des salafistes.
Malgré leurs déceptions après la présidentielle et les législatives, le Front de Gauche continue de rêver à incarner l'alternative aux socialistes au pouvoir.
Réunis à Nice pour célébrer le quinquennat de Nicolas Sarkozy, les responsables de l'UMP n'en oublient pas leur compétition interne qui relègue presque au second plan l'hommage à l'ancien président.
©AFP/Jean-Pierre Muller
Alors que plusieurs parlementaires proches de Benoit Hamon ont annoncé ne pas vouloir voter le traité budgétaire européen, la pression est mise sur l'aile gauche du PS qui elle veut continuer à peser sur l'existence du parti.
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