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C'est à 19h26 que la composition du nouveau Gouvernement a été annoncée, avec 34 nouveaux ministres entrant en fonction, dont 17 femmes, pour une parité parfaite, une première sous la Cinquième République.
©AFP/Miguel Medina
Ce sont deux femmes issues du Parti Radical de Gauche qui ont fait leur entrée au Gouvernement hier, dont une dans un ministère régalien.
A peine nommé ministre de l'éducation, un rôle pour lequel il s'est préparé durant toute la campagne, Vincent Peillon a déjà annoncé une première réforme importante.
©AFP/Abbas Momani
On le pressentait depuis des semaines, et la nouvelle avait fuité dès la matinée d'hier, c'est donc Laurent Fabius qui devient numéro 2 du Gouvernement et qui hérite du Quai d'Orsay.
Si la patronne du PS n'a pas obtenu Matignon, et a donc refusé l'obtention d'un super-ministère, deux de ses très proches ont eux obtenu des ministères importants, comme pour compenser cette absence.
©AFP/Thomas Samson
Il n'aura fallu que quelques minutes après l'annonce de la composition du Gouvernement de Jean-Marc Ayrault pour que l'opposition dénonce ce "gouvernement pour le peuple de gauche".
C'est la première fois sous la Cinquième République qu'un Gouvernement affiche une parité parfaite. Sur les 34 membres du nouveau Gouvernement, ce sont en effet 17 femmes qui font leur entrée.
Comme l'avait fait son prédécesseur, François Hollande a prévenu que tout ministre battu aux élections législatives devrait démissionner de son poste gouvernemental.
Interrogé sur la personne qui devrait présider l'UMP à partir de l'automne prochain, Jean-François Copé décrit quelqu'un qui devrait lui ressembler trait pour trait.
©François Guillot
Une plainte a été déposée à la Cour de Justice de la République contre les anciens ministres Christine Lagarde et Thierry Breton.
Le Front de Gauche se dit prêt à signer un accord avec ses partenaires de gauche pour éviter l'élimination de la gauche dès le premier tour dans certaines circonscriptions.
Comme on le pressentait depuis des mois déjà, Laurent Fabius sera le vraisemblable prochain ministre des affaires étrangères, sauf démenti.
©AFP
La passation de pouvoirs entre François Fillon et Jean-Marc Ayrault a lieu à 10heures ce matin à Matignon. Le socialiste est officiellement le nouveau Premier Ministre.
Bachir Saleh, l’ex-directeur de cabinet du colonel Kadhafi est recherché par Interpol mais a vécu à paris jusqu’au mois de mai.
Poids lourd du Parti Socialiste, Martine Aubry n'intégrera pas le nouveau Gouvernement dont les noms seront dévoilés en fin d'après-midi.
©Paris Match
Le sénateur socialiste et maire de Dijon a indiqué ce matin sur Europe 1 qu’il souhaitait privilégier sa ville et ses fonctions au Sénat.
Si certains à l'UMP sont tentés par des alliances avec le FN, la Licra a décidé de faire activement campagne contre le parti d'extrême-droite.
Ce qui était à craindre a commencé hier, un élu UMP de l'Ain a décidé de rejoindre le Front National pour les prochaines législatives.
©L'Express
Jean-François Copé a vu hier, en François Hollande, lors de la cérémonie de passation des pouvoirs à l’Elysée, « un homme d’un clan ».
C'est une question qui agite l'UMP depuis la défaite présidentielle, à savoir gagner les législatives pour imposer une cohabitation contraire à la tradition gaulliste et éviter un "état PS". Mais quels sont les risques justement ?
©Le parisien
Alors que François Hollande souhaitait bloquer les prix des carburants, les prix à la pompe continuent de baisser. Le blocage voulu par le président reste par conséquent en suspens.
A peine nommé Premier Ministre, Jean-Marc Ayrault a reçu une tribune ouverte de la part de Jean-Luc Mélenchon qui pose un certain nombre d'exigences.
©Le Point
Le député socialiste Patrick Bloche a dénoncé la tenue d’un conseil d’administration de l’Audiovisuel Extérieur de la France (AEF) qui regroupe France 24 et la radio RFI qui sont en passe d’être fusionnés.
La cérémonie de passation des pouvoirs qui s'est déroulée hier, si elle a été voulue sobre, a néanmoins démontré que les traces de la violente campagne présidentielle qui vient de se terminer ne se sont pas encore estompées.
Les ténors de l'UMP sont montés au créneau hier après la cérémonie d'investiture, dénoncent le manque d'élégance du nouveau président envers Nicolas Sarkozy.
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