Fil d'actus
©Bertrand Langlois/AFP
Pour tenter de parler aux électeurs de Marine Le Pen, François Hollande a sorti, entre les deux-tours, sa carte Arnaud Montebourg. Ce dernier était dans le Gard hier soir pour lancer un appel "aux républicains et aux patriotes".
©Raymond Roig
A l'occasion du défilé du 1er mai qui se tiendra dans la journée, le responsable de la CGT, Bernard Thibault, a annoncé qu'il voterait pour François Hollande dimanche prochain.
©AP/Claude Paris
En meeting à Avignon cet après-midi, plus que jamais le chef de l'état en campagne a chassé les électeurs du Front National, enjeu crucial pour une éventuelle réélection.
A une semaine du second tour de l'élection présidentielle, plusieurs ténors de la majorité présidentielle lèvent la voix contre la stratégie choisie par leur candidat.
Alors que l'UMP monte au créneau contre le site d'information d'Edwy Plenel, les journalistes de Mediapart réaffirment leurs propos et accusent le Premier Ministre d'avoir menti.
Un militant écologiste de Grenoble, après avoir consulté les sondages commandités par l'Elysée au début du mandat, fait valoir qu'il existe plusieurs irrégularités.
Les Français souhaiteraient voir Martine Aubry ou Alain Juppé être nommés à Matignon.
©Reuters
Le responsable du FN Bruno Gollnisch fait parler de lui depuis qu'il a annoncé ce matin qu'il était prêt à voter Nicolas Sarkozy dimanche prochain sous certaines conditions.
Portrait de campagne d'un député UMP qui est monté en grade depuis quelques années, et a été un membre important de la cellule riposte.
Bien décidée à peser sur le débat de l'entre-deux tours, et pourquoi pas le résultat final, Marine Le Pen ne cesse de critiquer le président sortant, notamment concernant la tonalité de sa campagne très droitière.
Après Mediapart c'est au tour des Inrocks de porter des accusations contre Nicolas Sarkozy concernant ses relations passées avec le dictateur libyen.
Après le discours de Toulouse de Nicolas Sarkozy hier après-midi exaltant les frontières à défendre, François Hollande a estimé ce matin que ce n'était pas un sujet d'importance dans la campagne présidentielle.
Après les révélations faites par le site Mediapart ce week-end, Nicolas Sarkozy a annoncé qu'il porterait plainte après le second tour de l'élection présidentielle.
©Reuters
Contrairement au chef de l'état sortant, le Premier Ministre François Fillon a refusé ce matin de rentrer dans un discours anti-syndicats.
L'occasion est trop belle pour ne pas la saisir. Devant la verve antisyndicale de son rival, François Hollande a choisi d'écrire aux syndicats, à la veille du 1er mai, pour les rassurer sur sa vision de la démocratie sociale.
L'actuelle première secrétaire du Parti Socialiste a confirmé aujourd'hui qu'elle ne resterait pas à la tête du parti après l'élection présidentielle.
Dans une interview accordée à Libération, le responsable de la CFDT revient sur la campagne actuelle du chef de l'état, pour en dénoncer les fondements mêmes.
©AFP/Joel Saget
Alors que le week-end a été marqué par des polémiques concernant Dominique Strauss-Kahn, les responsables socialistes ont clairement fait comprendre qu'ils ne voulaient plus entendre parler de lui.
©AFP/Fred Dufour
Pour son dernier grand meeting parisien, François Hollande a voulu mobiliser en masse son électorat en dressant un vibrant appel à l'humanisme de chacun.
©AP/Michel Euler
Lors de son discours de Toulouse cet après-midi, le président sortant a choisi de rester sur le registre adopté au lendemain du second tour et de dresser un vibrant plaidoyer pour la nation.
©AFP/Stephane de Sakutin
Suite aux révélations faites par le site Mediapart, le chef de l'état sortant accuse ce site d'information de mensonges.
Un des dossiers les plus brûlants du prochain quinquennat menace d'être la prochaine vague de plans sociaux qu'annoncent depuis des mois les syndicats et salariés.
Deux semaines après la bataille des meetings en plein air de Vincennes et la Concorde, François Hollande et Nicolas Sarkozy récidivent, en livrant un duel à distance, l'un à Paris, l'autre à Toulouse.
©Florent Dupuy/Sipa
Devant la menace Marine Le Pen, le Front de Gauche et le Parti Socialiste ont commencé à négocier pour les prochaines législatives, afin d'éviter que la gauche ne soit éliminée du second tour dans certaines circonscriptions.
Lors de son meeting de Clermont-Ferrand, Nicolas Sarkozy a répondu aux accusations parues hier du camp DSK, de manière virulente.
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