Stéphane Plaza, des ruines vers une restauration

En février, Stéphane Plaza a été condamné pour “violences conjugales habituelles” sur une de ses compagnes : 12 mois de prison avec sursis. Ce jeudi, ses avocats, Julien Roelens et Antonin Gravelin-Rodriguez, ont annoncé qu'outre l'appel dans ce procès, ils lançaient une procédure contre le parquet qui aurait réalisé en “faux en écriture publique” : une “attestation selon laquelle il n'y a aucun lien entre les accusatrices de Stéphane Plaza et les harcèlements”… 
 

Cette affaire de harcèlement précédait celle contre Stéphane Plaza. Une des deux plaignantes à son procès a, à l'audience, admis avoir créé un compte Instagram pour signaler les "infidélités” de l'animateur, explique Le Parisien.

Remonter l'escalier

Cette opération est hasardeuse. Si à l'époque les auteurs du “harcèlement” n'ont pas été identifiées, le premier jugement s'est tenu sur des faits apparemment avérés de violences conjugales. La cour d'appel reprendra les mêmes dépositions, les mêmes éléments… 
 

Stéphane Plaza avait-il besoin de cette conférence de presse des avocats et de ces accusations contre le parquet ? Il a été cité, début mai, dans un trafic de drogue, apparemment comme consommateur de cocaïne, chez lui à Bougival (Yvelines) où l'on a trouvé un gramme de coke et une pipe à crack, selon Le Parisien.

Pour remonter la pente, ou l'escalier, puisqu'on est dans l'immobilier, il faudra du temps. Et surtout un jugement en appel déclarant Stéphane Plaza innocent.