Charlety s'embrase : le match arrêté

Il s'agissait d'un match en 32e de finale de la Coupe de France. A la pause, les incidents ont commencé dans les tribunes avant que le public envahisse le terrain. Des supporters lyonnais auraient lancé des fumigènes.

 

Quelques tweets pour mettre en image la situation au stade Charléty, ce vendredi soir.

 

 

S’agirait de DOSER.#charlety #parisfc #Bagarre pic.twitter.com/j2xDOtCMKc

 (@Arisboobiz) December 17, 2021

 

 

 

Chaos total au stade Charléty, des dizaines de supporters ont envahi le terrain alors qu’une dizaine de CRS vient de faire son entrée dans le parcage lyonnais. #PFCOL pic.twitter.com/hU6s2jHAtp

— David Aiello (@Aiello_David) December 17, 2021

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Je viens de sortir du stade Charlety. J’étais à côté de KOPP lyonnais. Ils ont sauté la grille et ont frappé tout le monde. Même des femmes ont pris des coups de ceintures, des droites !!! Je vous jure aucun bluff, c’est incroyable ce qui s’est passé pic.twitter.com/ZvyOm5hELA

— Mohanalyse  (@Mohanalyse) December 17, 2021

 

 

 

 

En vérité ce n'est pas un match de foot, mais un cirque. #Charlety #PFCOL pic.twitter.com/jcFdMkb9hv

— Diego Perret (@diegoperret86) December 17, 2021

 

 

Selon BFMTV, "la commission de discipline de la FFF va placer ce dossier en instruction".

 

"La première tendance est que les décisions (notamment sur le sort de la rencontre) ne seront pas prises d'ici les 16èmes de finale programmées le 2 janvier. Les éléments risquent de mettre du temps avant d'arriver dans les bureaux de la fédération. Mais le rapport de l'arbitre va lui être communiqué dès ce samedi alors qu'habituellement il arrive le lundi. Les sanctions prises seront celles fixées par les règlements généraux. Un match perdu pour Lyon est une "possibilité" même si cela dépendra des rapports des officiels, des vidéos et des autres pièces du dossier."  

 

Autant dire que la "justice du football" prend son temps... C'est bien ce qui est reproché à la Fédération française de football : laisse traîner et installer un climat de violence habituel.