Les motards dans Paris contre le stationnement payant

 

La FFMC était à l'origine du mouvement (photo Awacs).

 

Sur la participation, la Fédération des motards en colère (FFMC) a vu 3.000 motards mais LeParisien seulement 500 motos (on vous le laisse à 1.000). En février, sous la pluie, avec couvre-feu à 18 heures, cela montre de toute façon une détermination. Le départ était avenue Foch à 14 heures, côté porte Dauphine, et l'arrivée, évidemment, à l'Hôtel-de-Ville.

 

Rassemblement avenue Foch (photo Awacs).

 

« C'était blindé. On était hyper nombreux » (photo Franck Gibault).

 

Pas "que des mecs" (photo Awacs).

 

Animation grâce à la voiture de la FFMC (photo Dydy Pepitoos).

 

Un soutien en automobile (photo Awacs).

La présence d'automobiles portant des affiches hostiles à la ZFE (zone à faible émission) s'explique par le soutien des amateurs de voitures anciennes (et des pauvres qui roulent avec ce qu'ils ont) aux motards victimes de la discrimination par la vignette Crit'Air. LeParisien donne la parole à Jean-Marc Belotti, pour la FFMC...
 

« On est en train d'annoncer à ceux qui sont relégués en banlieue, qu'ils vont devoir changer leur voiture pour un modèle moins polluant mais beaucoup plus cher ! Les autorités devraient faire attention : il n'en n'a pas fallu beaucoup plus pour lancer le mouvement des gilets jaunes ! » avertit Jean-Marc Belloti.  

 

Jean-Marc Belotti, de la FFMC Paris Petite Couronne, répond aux questions (photo Awacs).

 

"Quand on arrive en ville" (photo Awacs).

Face à l'Hôtel-de-Ville de Paris (photo Awacs).

La manif a pris fin à 17 heures,  pour permettre un retour avant 18 heures (photo Awacs).
 

Il y aura une autre manifestation le 20 février, sur le problème de l'usage de l'interfile, une coutume depuis les années 70, désormais sanctionnée sans aucune tolérance.

 

Le reportage de BFMTV