Sexe : les orgies du 15e à l'arrêt et Grindr qui déraille
Publié le Par Fabrice Bluszez

Copies d'écran
Les orgies rue d'Alleray, dans le 15e, à Paris, c'est fini pour cet été. L'administration a fait fermer le local tenu par un mystérieux "Z". Et côté gay, ça ne va pas mieux : l'application Grindr autorise l'antisémitisme...
“Moyennant 80€”, rappelle Le Parisien, on pouvait dans un local au sous-sol d'une résidence, participer à une soirée gang-bang, autant dire une orgiet, au moins visuelle, donnée environ quatre fois par semaine. L'endroit, ancien espace de stockage, a pris nom de “Factory” et l'organisateur se fait appeler “Z”. Discrète au début et officiellement légale (on se demande bien pourquoi), cette activité a duré un an et demi, le temps d'agacer fortement les riverains et les 50 habitants de la copropriété.
L'administration a mis fin début août à ces jeux mais “Z” promet une reprise en novembre…. Au même endroit ? Rien n'est moins sûr. Juridiquement, on hésite entre prostitution et proxénétisme… Au minimum, l'endroit n'a pas les normes d'une salle de spectacle, même de "spectacle vivant"… Et porno.
Grindr prend le mauvais train
L'autre info, c'est côté gay. Sur l'application de rencontres, surtout sur téléphone portable, Grindr, l'on peut choisir un partenaire homosexuel. Et donc l'on peut affirmer ses goûts et ses dégoûts. Grindr avait déjà laisser passer des “pas de noirs” ou “pas de gros”. Elle a interdit "pas de sionistes". Avant de l'autoriser à nouveau. On comprendra aisément “pas de juifs”.
Ces gens ont-ils oublié qu'au temps des nazis, ils prenaient les mêmes trains que les juifs ?