Fil d'actus
Dans une interview accordée au Spiegel, le candidat socialiste revient sur le "boycott" dont il fait l'objet en Europe mais prévient les dirigeants que s'il est élu, il va falloir l'écouter très sérieusement.
Si son meeting de Villepinte n'a pas permis de se faire une idée claire et précise sur ce que sera le programme présidentiel de Nicolas Sarkozy, ses différents meetings et apparitions publiques tenus jusqu'à présent permettent déjà de décerner quelques propositions phares.
La nouvelle s'est répandue sur Twitter ce matin, comme une trainée de poudre : trois militants UMP ont déclaré avoir été interdits de participation à Villepinte, en raison de leur opposition à Guillaume Peltier.
Il ne leur reste que quelques jours avant de délivrer leurs 500 précieux parrainages au Conseil Constitutionnel. Où en sont les "petits" candidats?
Ce matin à Paris, le candidat socialiste a parlé défense et a exposé ce que serait sa politique de défense s'il était élu Président de la République.
Cet après-midi à Villepinte avait lieu le discours clé de la campagne de Nicolas Sarkozy. Devant des militants gonflés à bloc, le président sortant a tenté de renverser la tendance.
Après l'annonce par Nicolas Sarkozy de vouloir réduire par deux l'immigration en France, Martin Hirsch cosigne une tribune pour dénoncer ces attaques contre les immigrés.
En personnalisant la campagne cette semaine, Nicolas Sarkozy prend le risque de transformer cette élection en un référendum pour ou contre lui. Une tendance déjà présente depuis quelques mois déjà.
C'est l'information du jour selon le Parisien, aussitôt démentie par Dominique de Villepin en personne. Pourtant, le quotidien parait sûr de ses sources.
Cette semaine Marine Le Pen a de nouveau attaqué le droit à l'avortement, dénonçant des "IVG de confort", expression qui viendrait d'un médecin reconnu. Seul problème, ce dernier s'estime instrumentalisé par le FN.
C'est un peu le meeting de la dernière chance pour le candidat Nicolas Sarkozy qui n'a pas réussi son début de campagne. Que doit-on en attendre? Peut-il rebondir après quatre années d'impopularité chronique? L'enjeu de cette journée est crucial pour la droite.
Le parti d'extrême-droite de Marine Le Pen a fait fermer le blog de l'un de ses candidats aux législatives, étant donné ses caricatures extrêmement polémiques.
A l'occasion du premier anniversaire de la catastrophe de Fukushima, la candidate Eva Joly lance un appel à "la génération Fukushima" et répéte la nécessité de sortir du nucléaire.
Nouvelle attaque contre la "Sarkhollandisation" du débat présidentiel actuel aujourd'hui à Toulouse pour le candidat du Modem, qui veut s'imposer dans la campagne.
Le candidat socialiste tenait une réunion publique cet après-midi à Paris, pour adresser un message à l'outre-mer, à qui il promet des investissements massifs.
Si François Hollande était élu en mai prochain, 65% des français aimerait qu'il compose un gouvernement en y incluant les écologistes.
Le parti radical a voté sans enthousiasme un soutien à la candidature de Nicolas Sarkozy, tandis que Rama Yade a clairement choisi la voie des opposants.
Elle est députée européenne, et ça se sent quand elle parle d'Europe. Ce matin Eva Joly exposait sa vision de ce que devrait être l'Europe, à mille lieux de ce qu'elle est actuellement.
PORTRAIT de Jean-Luc Mélenchon, sacré révélation de la campagne cette semaine. Pourtant, une telle trajectoire est très loin d'être surprenante, elle vient de loin.
A l'occasion d'une rencontre avec une centaine de personnes associatives, le candidat socialiste a proposé la création d'un "congé engagement".
En déplacement au Maroc pour son candidat, François Hollande, la première secrétaire du PS a dénoncé les discours de Nicolas Sarkozy qui ont pu heurter l'Afrique.
Dernier week-end pour recueillir des parrainages de maires pour certains candidats qui galèrent toujours. La pression monte pour deux partis en particulier : le FN et le NPA.
Parce que leurs maris rencontrent de sérieux problèmes dans l'obtention de leurs pensions, des femmes de militaires manifestent à Paris pour dénoncer cette situation.
©Patrice Kovarik
Si le parti radical doit entériner aujourd'hui son soutien à Nicolas Sarkozy pour la présidentielle, Rama Yade a déjà déclaré ne pas voter la motion et Jean-Louis Borloo a décliné l'invitation de Villepinte. Un camouflet pour le président sortant.
L'ancienne secrétaire d'état de Nicolas Sarkozy, dont on annonçait déjà le prochain soutien à ce dernier, déclare aujourd'hui ne pas rallier l'UMP et ne pas se rendre à Villepinte.
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