Bertrand Cantat poursuivi par le fantôme de Krisztina Rady

Bertrand Cantat, qui avait été condamné pour le meurtre, à l'été 2003, de Marie Trintignant à 8 ans de prison, peine effectuée jusqu'en 2007, a un nouveau souci avec la justice.

“Une enquête préliminaire vient d’être ouverte pour violences volontaires par conjoint”, note Le Parisien. En effet, on doute des conditions du suicide de sa première femme, Krisztina Rady, épousée en 1997, avec qui il a eu deux enfants, qu'il a abandonnée ensuite avant de rencontrer Marie Trintignant. Il avait ensuite renoué avec elle.

En janvier  2010, La Libre , journal belge rapporte les résultats de l'autopsie de Krisztina Rady, 42 ans…

L'autopsie pratiquée lundi matin au lendemain du décès de Kristina Rady, l'ex-épouse de Bertrand Cantat et mère de ses deux enfants, ne laisse planer aucun doute quant à l'origine du décès, a-t-on appris de source judiciaire. "Aucune trace" de violence n'a été relevée, aucun élément "ne démontre l'intervention d'un tiers et la mort par asphyxie vient confirmer la thèse du suicide".

Violences volontaires ?

Alors pourquoi cet acharnement sur Bertrand Cantat ? Parce qu'un documentaire sur Netflix retranscrit un message laissé sur le répondeur de la mère de la jeune femme, fin 2009…

« Hier, j’ai failli y laisser une dent. Il m’a balancé mon téléphone, mes lunettes. Il m’a jeté quelque chose de telle façon que mon coude est totalement tuméfié et, malheureusement, un cartilage s’est même cassé »

On pense à des violences volontaires et un harcèlement ayant conduit au suicide, note Le Parisien.